Les Imaginales... après
Comme promis, un petit compte-rendu de ce chaud week-end de mai aux Imaginales d’Épinal, superbe festival autour de l'imaginaire.
Je dis superbe, j'avoue que de ma part, je m'avance un peu, étant restée tout le temps dans mon stand.
Ceci dit, je sais qu'outre d'intéressantes conférences (auxquelles je regrette de n'avoir pu assister), outre les nombreux auteurs présents dont certains grands noms de la fantasy française, il y avait speed-dating auteurs/éditeurs, cosplay et body-painting.
Je relis ce que j'ai écrit et cela me rappelle combien ce monde de l'imaginaire est devenue la chasse réservée des anglo-saxons. On va donc reprendre, parce que la littérature de qualité, même dans l'imaginaire, c'est aussi français. Que ceux qui croient que seuls les Américains font du bon dans ce domaine passent leur chemin. Je disais donc: rencontres rapides entre écrivains et éditeurs, déguisements divers (j'ignore s'ils étaient vraiment tirés d'une série, d'un jeu de rôle ou autre) et peinture sur corps. C'est quand même plus joli.
J'ai fait quelques photos, toujours depuis ma place, ce n'est pas une réussite. Je me garderai donc de les poster ici.
Quoi qu'il en soit, une bonne expérience pour ce premier salon. Malgré ma timidité, malgré la difficulté à trouver des dédicaces, j'aurais déjà presque envie de recommencer. Pouvoir présenter son propre roman, faire des rencontres, échanger quelques mots avec des passants et se rendre compte qu'ils ont des goûts et des façons de voir proches des nôtres, c'est agréable. Et les enfants! Des enfants qui aiment lire, qui aiment les mots et les aventures écrites, qui aiment tourner des pages et tenir un roman dans les mains et qui rêvent d'écrire. C'est magnifique et rassurant aussi.
Et puis, il y a l'ambiance et surtout les livres, des livres par centaines, tous ces livres partout...